Le premier exemplaire du présent ouvrage a été offert en hommage à l’Académie française, et déposé sur le bureau par M. Emile Faguet.
I

« La France » est une expression géographique. Le nom de France désigne le territoire compris entre la Manche et les Vosges, entre le golfe de Gascogne et les Alpes. Les hommes qui sont maîtres de cette région s’appellent les Français.
Maintenant, c’est nous, Juifs, qui régnons et commandons en France, où les indigènes nous obéissent, nous servent, nous enrichissent. Donc, c’est nous les Français. Un peuple remplace un autre peuple ; une
race remplace une race. Avec de nouveaux Français, la France continue. (extrait du livre)
« Enfin, le peuple juif est maître de la France.
Les gouvernements et les nations reconnaissent le fait officiellement.
Alphonse XIll, roi d’Espagne, de la maison de Bourbon, est venu en France au mois de novembre 1913, il est allé chez le président Poincaré, pour une partie de chasse à Rambouillet. Mais il est allé chez notre Edouard de Rothschild pour traiter des affaires de l’Espagne avec la France » …
« Notre conquête est désormais un événement accompli » …
« J’ai expliqué que nous ne voulions pas “faire sortir de France les Français” comme l’ont dit témérairement quelques-uns des nôtres, exaltés par la victoire. Nous ne supprimons que les Français rebelles à notre domination, c’est-à-dire une poignée d’énergumènes.
La masse docile et laborieuse des indigènes nous est nécessaire, ainsi que les Ilotes étaient nécessaires aux Spartiates en Laconie et que le Hindous sont nécessaires aux Anglais en Hindoustan ».
« Il nous suffit de tenir en main les rouages directeurs du pays et d’exercer le commandement.
Nous pouvons l’exercer au grand jour.
Nous régnons sur la France en vertu du même droit qu’ont invoqué les Européens pour anéantir des Peaux-Rouges et pour asservir les Cafres ou les Congolais : le droit de la race supérieure sur une race inférieure. C’est une loi de nature.
La supériorité de la race juive et son droit à la domination sont établis par le fait même de cette domination. Les vaincus s’ inclinent devant l’évidence.
L’indigène français ne manque pas d’une certaine intelligence. Il commence à comprendre ce qu’il peut gagner en acceptant l’inévitable. Il sollicite nos enseignements, nos conseils, nos impulsions dans tous le ordres d’activité politique, économique, artistique, philosophique, littéraire.
C’est à l’école primaire, au lycée, à la Sorbonne, dans les grands établissements d’enseignement supérieur, que se forment toutes les classes de la nation, que la plèbe acquiert les quelques notions sur lesquelles elle vivra toute sa vie, et que la bourgeoisie amasse les idées qu’elle tient ensuite pour définitives.
Sagement, nous nous étions emparés de l’lnstruction publique à tous les degrés, avant de démasquer notre dessein politique.
L’Université, ses conseils, ses programmes, sont entre nos mains ; les plus modestes manuels de l’école primaire comme les chaires les plus orgueilleuses des Facultés subissent notre censure. À l’École normale supérieure comme à l’École polytechnique, nos hommes contrôlent tout, décident de tout. Une grande partie des éditeurs qui publient les livres scolaires sont juifs, et les professeurs indigènes qui travaillent à leurs gages doivent se conformer à notre pensée. La Sorbonne entière nous est dévouée, le Collège de France tremble devant nous : dans la scandaleuse affaire Curie, les pontifes et les maîtres de la culture « française » ont fait bloc contre la mère de famille française pour servir notre sœur Salomé Slodowka. (extrait du livre)
Lien pour lire le livre : Gohier-Urbain-A-nous-la-France[1].pdf